Le cas Iga Swiatek a fait réagir Simona Halep.
Testée positive en septembre 2022, la Roumaine avait été suspendue provisoirement, puis officiellement pour quatre ans, avant que sa suspension soit ramenée à 9 mois par le Tribunal arbitral du sport (TAS).
Contaminée par un médicament à la mélatonine (à la différence de Halep, contaminée via un complément alimentaire), Swiatek n’a elle été suspendue qu’un mois. La Roumaine dénonce quoi qu’il en soit une injustice et une différence de traitement dans un message postée sur Instagram :
« Je suis assise et j’essaie de comprendre mais c’est vraiment impossible pour moi de comprendre quelque chose comme ça. Pourquoi y a‑t‐il une si grande différence de traitement et de jugement ? Je ne trouve pas et je ne pense pas qu’il puisse y avoir de réponse logique. Cela ne peut être que de la mauvaise volonté de l’ITIA (l’Agence internationale pour l’intégrité du tennis), l’organisation qui a absolument tout fait pour me détruire malgré les preuves. J’ai toujours cru au bien, j’ai cru à l’équité de ce sport.. C’était douloureux et peut‐être que l’injustice qui m’a été faite le sera toujours. Comment est‐il possible que dans des cas identiques se produisant à peu près en même temps, l’ITIA ait des approches complètement différentes. Comment pourrais‐je accepter que le WTA et le conseil des joueuses ne voulaient pas me rendre le classement que je méritais ? J’ai perdu deux ans de carrière… »