S’il a désormais accepté les excuses du journaliste lui ayant manqué de respect, Novak Djokovic est revenu en conférence de presse sur sa discussion avec le directeur de l’Open d’Australie, juste après avoir sauté l’interview sur le court dimanche à Melbourne.
« Je lui ai dit exactement la même chose qu’à vous.Je ne l’ai pas revu depuis. Il communiquait avec mon agent et mon équipe. J’ai une très bonne relation avec Craig, je pense que c’est un gars phénoménal qui essaie toujours d’aider les joueurs et de comprendre leurs besoins ou leurs demandes. Donc je voulais juste m’assurer qu’il sache les raisons qui m’ont poussé à prendre cette décision. Je lui ai donc dit : ‘Si vous voulez m’infliger une amende pour ne pas avoir donné d’interview sur le terrain, pas de soucis, je l’accepterais car j’ai le sentiment d’avoir fait ce qui devait être fait’. C’est tout ce qu’il y a à dire. »
L’homme aux 24 titres du Grand Chelem échappera à une amende car comme Tim Henman l’a expliqué, les interviews sur le court ne sont pas obligatoires pour les joueurs.