Si Viktor Troicki avait révélé que son ami et compatriote Novak Djokovic était à la recherche d’un grand nom pour l’entraîner, personne n’avait misé sur Andy Murray. D’abord parce qu’il a pris sa retraite il y a trois mois seulement et également parce qu’il a été l’un des plus grands rivaux de Nole, avec qui il s’est néanmoins toujours très bien entendu.
Et alors que les observateurs, fans et suiveurs du tennis attendent le début de saison en Australie avec impatience pour suivre cette association inattendue, la mère d’Andy, Judy Murray, a elle déjà sorti les pop‐corns…