Passé par toutes les émotions au cours d’une finale tendue et aux multiples rebondissements, Juan Carlos Ferrero n’a pas pu retenir ses larmes après la victoire, ce mercredi, de son joueur, Carlos Alcaraz, face à Jannik Sinner en finale de l’ATP 500 de Pékin.
Interrogé à ce sujet lors de son passage en conférence de presse d’après match, Carlitos, qui n’a pas vu son entraîneur pleurer, avait néanmoins une petite idée sur les raisons de ces larmes.
« Je ne l’ai pas vu pleurer. C’est une bonne chose à savoir, je suppose (sourire). Mais oui, je veux dire que c’était une victoire vraiment spéciale pour moi, de soulever ce trophée devant mon équipe, une partie de ma famille. C’était un grand moment pour moi. Je suppose qu’il a été ému à la fin parce que nous savons tous ce que nous avons vécu le mois dernier ou les deux derniers mois. C’était un moment très difficile sur le terrain et en dehors. Après cela l’US Open, nous avons beaucoup parlé pendant, sachant que je devais retourner à l’entraînement, être plus fort physiquement et mentalement pour surmonter ces problèmes. Le mois dernier, nous avons travaillé très, très dur sur le terrain, en dehors du terrain, juste pour être en mesure de ressentir à nouveau ce moment. Je dirais que c’est pour cela qu’il est devenu émotif. Pour moi, c’était spécial. Pour les gens qui m’entourent, c’est un moment spécial. »